London House

A propos du film

Sorti pour la première fois en 2017, London House (The Ones Below en version originale) est un thriller britannique.

Le résumé

Dans un quartier résidentiel de Londres, Kate et Justin, trentenaires bientôt parents, occupent un grand appartement au premier étage d’une belle maison bourgeoise. Lorsque Theresa et Jon, un couple aisé également dans l’attente d’un enfant, emménagent dans l’appartement du rez-de-chaussée, les deux couples se lient d’amitié. Kate est fascinée par Theresa mais au fil d’événements troublants, elle est envahie par un sentiment d’inquiétude qui va se transformer en un véritable cauchemar.

3 points que j’ai aimé

• Clémence Poésy ! Et oui, elle n’est pas que Fleur Delacour de Harry Potter et la coupe de feu ! C’est principalement pour ça que j’ai voulu regarder ce film. La voir dans un autre genre m’intéressait beaucoup et je n’ai pas du tout été déçue. Je la trouve très jolie en plus.
• Le suspens. Vous savez, ce fameux moment où l’on commence à se dire que chaque détail du décor pourrait être un indice sur le dénouement et on essaye de comprendre le comportement des personnages ? Cétait ce moment. Bien que parfois un peu en dessous de ce que demande un thriller, le jeu des acteurs est fort convenable dans ce registre. Il a apporté une petite touche qui fait qu’on ne s’ennuie pas trop, principalement grâce à Clémence Poésy et Laura Birn. Moi qui avais peur de la lenteur du début, je l’ai assez vite oublié. J’ai fini par me poser des questions tout le long du film.
• La fin m’a surprise. Ce n’est pas tellement de manière agréable mais plutôt dans le sens où c’est inattendu (c’est un peu le principe de la surprise).

1 point que je n’ai pas aimé

• L’ambiance un peu pesante du début. J’ai eu un peu peur que ça m’empêche de suivre le film avec intêret. Sans parler du fait qu’il peine à démarrer, un peu comme une voiture quand il fait trop froid. J’ai trouvé que le scénario était trop axé sur le couple Kate/Justin avec la rengaine habituelle du « oh, on va avoir un enfant, la vie est parfaite, je t’aime tellement, smouak smouak » (oui, c’est censé être des bisous). Mais heureusement ça ne dure pas.

En conclusion

J’ai finalement été très contente d’avoir regardé London House. Ce film a reçu des critiques assez mitigées autant de la part de la presse que des spectateurs et je trouve ça bien dommage. Mon avis est peut-être biaisé car je ne suis pas une professionnelle du grand écran (du petit non plus d’ailleurs) mais je pense sincèrement qu’il mérite d’être vu.

MA NOTE : 15/20

Only when you lose someone utterly dear to you, utterly and totally dear, can you understand just how little we know. About death, about the soul, who we are.

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